New Pop Art
Le Pop Art est né au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en Angleterre et aux Etats-Unis.
En 1952, en Angleterre, l’artiste Eduardo Paolozzi présenta une œuvre faite de collages. Il avait découpé et assemblé des BD, des pubs, des photos, des couvertures de magazines. En soi, ce n’était pas révolutionnaire. Le collage existait depuis longtemps. Mais un mouvement naquit… Au milieu du tableau de Paolozzi, dans un nuage de fumée s’échappant d’un revolver, on pouvait lire l’onomatopée « pop ». Le Pop Art était né. Le groupe d’artistes dont il faisait partie, se réunissait à l’occasion et créa une exposition biennale. En 54, John Mc Hale qui présentait l’expo suivante, parla du Pop Art. En 56, tout le groupe se désignait dans ce terme. En 58, Alloway, conservateur de musée, défendit et légitima le mouvement.
Le Pop Art rassemblait des peintres, des sculpteurs, des architectes et même des écrivains qui défiaient l’art moderne, « l’art contemporain », la peinture abstraite, en lui opposant des œuvres issues de la culture de masse. Le groupe grossit des deux côtés de l’Atlantique, et continua d’évoluer dans les années 60.
Dessinant depuis plus de cinquante ans, enseignant, cherchant toujours des touches pédagogiques originales, des sujets inédits et des techniques nouvelles, Guillaume de St Pierre apporte une pièce à cet édifice du New Pop Art. Il a étudié de nouveaux supports de grande qualité, et des techniques d’impression appropriées, un dessin parfois plus gestuel que « bien fini », pour proposer des produits originaux, uniques (chaque tirage est numéroté et original), de grande qualité.
Il est possible de personnaliser tous mes tableaux New Pop Art avec des couleurs différentes, selon vos goûts et vos envies :